Le rapport établi par l’OMS (Organisation mondiale de la santé) indique qu’environ 17,1 millions de personnes souffrent annuellement de cardiopathies, d’accidents cérébraux et d’autres maladies cardiovasculaires. Ces maladies sont considérées comme le premier facteur de cause de décès sur le plan mondial. Les plus touchés sont les pays en développement, avec 82% des victimes.
Facteurs de risques comportementaux
Quatre maladies sur cinq sont concernées par les facteurs de risques comportementaux, notamment une mauvaise alimentation, la consommation du tabac, un excès d’alcool et un manque d’exercices. Ces comportements peuvent souvent engendrer une hausse du taux de glucose ou de lipide, l’hypertension et l’obésité.
L’estimation de l’agence onusienne révèle que d’ici l’an 2030, environ 23,6 millions de gens risquent de mourir d’une maladie cardiovasculaire.
Les État membres des Nations unies ont agréé à une déclaration les appelant à pratiquer des politiques de prévention et de mettre en place un traitement contre ce type de pathologies. La première mesure à prendre est d’engager le financement nécessaire.